L'agence s'appuie de plus en plus sur la technologie pour passer au crible les téléphones et autres appareils, en raison de la grande quantité d'informations qu'ils contiennent.
Benjamin Lamont, responsable de la stratégie technologique et des données de l'AFP, a révélé l'ampleur du défi, précisant que les enquêtes impliquaient généralement 40 téraoctets de données.
Le centre de lutte contre l'exploitation des enfants de l'agence traite 58 000 dossiers par an, tandis que des cyberincidents sont signalés toutes les six minutes.
Lors d'une conférence sur l'IA organisée par Microsoft à Sydney mercredi, il a déclaré "Nous n'avons pas d'autre choix que de nous appuyer sur l'IA. L'échelle humaine est dépassée, nous devons donc commencer à nous appuyer fortement sur l'IA, et nous l'utilisons dans un certain nombre de domaines."